Suite à l'article paru dans l'édition du 24 Mars 2021 dans le Dauphiné libéré, je vais approfondir 2 thèmes abordés par Mr Yves Rimet, délégué régionale AuRA de France Alzheimer, et Mme Sidonie Philippe, psychologue, au sujet du Mystère d'Aloïs.
Je les remercie profondément de leur témoignage et du partage de leur ressenti sur ce concept (si vous n'avez pas vu l'article, vous le trouverez en bas de page).
Voici les 2 thèmes en question:
Mr Yves Rimet dit : "On ne juge que d'après nos propres repères"
Mme Sidonie Philippe dit: "Une expérience parfois déroutante".
Ces 2 interventions résument parfaitement la finalité de ce concept, à savoir:
"changer de route pour modifier notre jugement"
Nous suivons dans notre vie une route. Celle-ci nous donne des repères ( que ce soit en connaissances, en aprioris, en jugements,...)
Cette route nous donne une stabilité.
Mais parfois, elle se termine en impasse face à une problématique.
Nous cherchons néanmoins à rester stable, essayant de trouver une solution en référence avec nos repères.
Une solution envisageable est de changer de route afin de concevoir de nouveaux repères. Sortir de sa stabilité ( se déstabiliser) pour mieux se re-stabiliser.
Pour résumer, et en reprenant les mots de Mr Rimet et Mme Philippe:
Le mystère d'Aloïs vous propose d'adapter vos repères en vous déroutant, afin d'approfondir votre cartographie, visualiser le chemin de haut et établir un nouvel horizon
Être en "métaposition" ( prendre de la distance, mais surtout de la hauteur).
Et finalement, "déstabiliser', "dérouter", ne serait-ce pas une technique afin d'établir ce nouvel horizon, de développer ses connaissances et ses compétences ?
Encore un grand merci à ces 2 personnes, et à vous pour m'avoir lu.
Voici l'article en question
